CHANT FLORAL ...

HE BIEN ... NOUS DEUX ...

Échos en Chœurs … en toute … pudeur !

Vous surprendrais-je m'en venant vous parler d'Aile ?

Vous étonnerais-je en ranimant quelques fragrances de son jardinet ?

Vous laisserez vous guider en mon errance amoureuse, florale, tracée à travers cet ultime miroir … qu'elle traversa ?

Comme ont traversé les ans, les siècles, quelques vers et notes …

Traverseront-ils l'éther afin de parvenir jusqu'à … Aile ?

Comme en parcours inverse cette chanson « hors d'âge » fit pour s'immiscer, s'imprimer en moué … en prononcé médiéval ...

S'imprimer, aux balbutiements de Gutenberg ? … allons ! … ceci ... mais ne valant qu'à l'écoute … Quelques zébrures teintées de lavande ont enivré les butineuses …

Quant à nous ? Se souvient-aile de l'herbe se muant couche d'amour ?

« L'amour de moi si est enclose …

Dedans ce si petit jardinet »

L'air se fit caressant … mes mains de même … comme les siennes … On n'est pas sérieux quand on vibre en s'aimant … Surtout avec nos corps nus sous le soleil complice …

Parfums de fleurs et de femme s'affrontèrent ?, s'entremêlèrent … Et nous avons ... fusionné … Aile planta les lames bleues de son regard … jusqu'en le rouge profond de mon être … je ne sais si la « plaie » qu'elles causèrent en mon esprit … se fermera un jour … et ne le souhaite pas …

Vous devrez ronger votre frein avant de l'entendre cette chanson … même pas vrai … il suffit d'enjamber le texte jusqu'au lien la libérant … Ou plutôt les liens permettant d''ouïr quelques unes des diverses interprétations … un écot sera exigé en l'acceptation des quelques vers issus d'une mienne adaptation à rebrousse temps … pourquoi ne la chanteriez vous pas ?

VOICI DONC MA VERSION DE

« L'AMOUR DE MOY »

L'Amour de moi follement j'ose

Sur la douce herbe t'allonger

Tu souris ayant deviné

Ce qui suivra je le suppose

L'Amour de moi ma fleur éclose

Sous fin tissu que je dévêts

Haut d'entrejambes m'apparaît

Ce mirage où naît une rose

Avec douceur de mes doigts j'ose

Ses beaux pétales écarter

S'empourprant au soleil d'été

Sous le baiser que j'y dépose …

Mon bel Amour vient une pause

Ce bouquet je dois protéger

De ceux aux beautés étrangers

Point ne faut que je les expose …

Nous vécûmes donc intensément cela … n'en déplaise aux pisse froid …J'ai quelque honte à les mêler à toute cette beauté … à cet instant d'éternité … ceci écrit sans emphase … Aile m'aurait cinglé d'un coup de plume … Tendrement asséné cela va sans dire …

allez vous avez bien mérité d'ouïr une ou deux « originelles » ...

https://www.youtube.com/watch?v=L2jwNOre2xc

https://www.youtube.com/watch?v=drO6yTovUrI&list=PLrbO9OLkjw4zeCFoUmqsNKaB1tKABLrMx&index=1

BONNE LECTURE ... BON CHANT ...

VIVE L'HUMAIN EN L'AMOUR ... ou L'AMOUR EN L'HUMAIN ...

Belle à Jamais ...