FUGUE EN FA DIÈSE MINEUR … SANS FADAISES ...

Publié le par SCIBOR Serge

Inocemment encore ?

Inocemment encore ?

FUGUE EN FA DIÈSE MINEUR … SANS FADAISES ...

 

Les mots, phrases lignes ci après s'avèrent …

Prolongement, précisions quant au « poème » précédemment posté, titré : « &&& Encore &&& »

Ils se veulent davantage nouvel éclairage sur notre folle histoire …Pour moi ...même ? …Quant à Aile ?

Ah ! Mes excuses pour cet écart en calembour relatif au titre …

Un rien pontifiant je remarque :

«  Que la plus évidente, voire seule, rime riche à AMOUR est HUMOUR … étrange constat »

Ajoutons que "fa dièse mineur" nous convient bien ... mineurs, nous l'étions tous deux à l'époque vécue ... la majorité d'alors se situant à 21 ans ...

@ Donc nos émois adulescents, nos belles découvertes évoquées, vous ont peut être touchés, voire interloqués …

Débarrassons nous des quiproquos …

 

@ J'aurais aimé qu'elle lise le texte précédent et celui ci …

J'y relate mon émotion à sa découverte physique… sans qu'elle soit passive … « femme objet » suivant certain poncif … mon respect amoureux pour Aile n'a pas de limites … Mon Alter Égale …

 

@ Je fais référence au « porte jarretelles » … d'usage courant alors … le triste collant (pour l'amoureux en découverte cinéphile!) n'était pas encore ultra dominant … je plaisante ...quitte à passer pour un affreux réactionnaire !

L'émoi du jeune non encore blasé que je fus (et ne serai jamais blasé) s'insinuait sous … hé ! Trêve de voyeurisme ! La salle de ciné est dans l'obscurité ...

 

@ LORS ME VOICI FUGUEUR @

 

& En notre amour je déambule

& Léger, je me veux funambule …

& Et survole encor cette époque

& De nos fous désirs réciproques …

& Nous avions tous deux convenu

& Même après que je t'ai vue nue (1)

& Lors d'une tendre solitude

& À deux d'en rester aux préludes

& Moi, jeune mâle t'aimant tant,

& Vibrant, ton souhait respectant

& D'arriver vierge à la Mairie,

& Je restais amoureux marri …

& Nous vibrions en les sixties

& Subissant leur "morale-hantise"

& Nous passant une muselière

& Étrangement … sous ventrière …

 

& Caresses finies en impasses

& Frissons frustrés qui sans fin passent

& Sans altérer nos sentiments

& En attente d'instants d'amants ….....

 

& Bien avant qu'on publie les bans

& En mairie, ce fut sur un banc...

& Qu'un soir, devant nous séparer,

& J'entendis ces mots espérés (2)

& « Te souviens tu de la question

& Posée lors de la projection

& D'un film ? Ma réponse est … oui … »

& J'en reste à jamais ébloui ... (3)

 

& Après ? C'est en chambre de bonne

& Cinquième étage … on s'abandonne …

& L'image semble surannée ?

& Les années ne l'ont pas fanée ! …(4)

 

&&&&&&&&&& APRÈS ? &&&&&&&&&&&&

 

& Quand corps et cœurs à l'amour s'ouvrent

& Brume je tends qui les recouvre …

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

  1. Un dimanche après midi … nous sommes seuls en l'appartement … ses Grands Mères sont en parties pour deux jours … je l'entraîne en la chambre et la mets face à une armoire munie de grands miroirs … je la dévêts peu à peu jusqu'à nudité intégrale … et lui fais constater, par son reflet, à quel point elle est belle … ce qu'elle n'admettra pas … je suis resté vêtu … pas par machisme … par prudence … ne voulant pas la forcer à …

     

  2. Comment, lors de notre séjour à Sète, la dernière escapade avant le diagnostic … ne me vint pas le rappel de ce banc … en la ville « de Brassens » … pour lui chanter « Bancs publics » …

     

  3. Je me vis submergé par l'émotion à cette déclaration ! Mais, un court instant, l'envie de lui répondre « Non » me titilla … C'eut été piteuse « vengeance » à mon attente pour ce « Oui » …

     

  4. Aussi étrange que cela peut paraître je ne puis me projeter le film de cette première fois intégralement … Pudeur ? Submersion de sentiments ? Décidément, serais-je «bizarre » ? … Allons !

 

"Zarbi" serait le fait d'admettre cette chance d'avoir attendu la culminance fusionnelle? ... Allons ! Ainsi nous prîmes le temps de nous connaître corporellement ... tandis que nos esprits se découvraient parallèlement ... les caresses et autres préambules (mot laid !) firent toujours partie de nos ébats amoureux non "coups de vent"  ... Sans pour autant souscrire à la piteuse saillie :

          "le meilleur moment de l'amour se situe dans l'escalier"

 

 

Tendresse volée par un ... voyeur ?

Tendresse volée par un ... voyeur ?

Ta beauté tendre ...

Ta beauté tendre ...

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