¤¤¤ Comptine … Arthuriale … ¤¤¤

Publié le par SCIBOR Serge

Il ne s'agit que ... d'une comptine ?  ... Vraiment ?

Il ne s'agit que ... d'une comptine ? ... Vraiment ?

Comptine … Arthuriale …

 

J'ai près d'Elle vécu ce que l'homme a cru vivre

Les espaces, les ans, franchis en badaud ivre

Avec notre passion pour seule marche à suivre

Par Elle j'ai vécu plus que d'autres ont cru vivre …

 

En Elle j'ai trouvé des savoirs inconnus

Qu'elle tint en son corps avant que d'être nue

Puis m'ouvrant son esprit aux pensées retenues

J'ai découvert en Elle un savoir inconnu

 

Elle et moi chaque jour nous retrouvions surpris

Entremêlant nos corps autant que nos esprits

De ces fous entrelacs qu'avons nous donc appris ?

Il importe en amour d'être toujours surpris …

 

Elle me laissa voir au delà du visible

Ce que par trop frileux je pensais impossible

Mais sa féminité me le rendit crédible

Grâce à Elle j'ai vu par delà le visible …

 

Avant de la croiser, que d'Elle je m'éprenne

Je laissais s'égrener les jours et les semaines

Je n'osais espérer quelque aventure humaine

Je ne sais qui voulut qu'Elle de moi s'éprenne …

 

Désormais Elle et moi dûmes accepter surpris

De nous voir hors raison chacun de l'autre épris …

Ensuite avons vécu ce que l'homme a cru vivre

Ā nos lèvres avons bu la passion qui enivre …

Chacun en l'autre a lu ce que taisent les livres...

 

Je ne sais si l'on peut nommer cela poème

Peut être eût il suffit que j'écrive … je t'aime …

 

il s'agissait juste ... d'une comptine

il s'agissait juste ... d'une comptine

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