GARDE-ROBE … EN VERS … EN DROIT ?
GARDE-ROBE … EN VERS … EN DROIT ?
Juste un semblant d'humour
Pour « parler » d'notre amour,
Cet affolant périple
Aux facettes multiples …
Sinon j'ai l’œil qui mouille,
Mes mots s'tirent en quenouille …
L'amour ? Un truc « hors normes »
Portant pas d'uniforme !
Adaptant sa vêture
En fonction d'la nature
De l'instant qu'il traverse
Sous soleil, sous averse
Par grand froid,canicule …
Il serait ridicule
Qu'une seule tenue
Soit pour lui retenue …
Lors, en différents styles,
Souffrez que je l'habille …
Négligé ou sérieux,
Vous choisirez au mieux …
J'en use en alternance,
C'est assez ! Je commence :
Dame nous connaissant, à l'esprit affûté,
Décela en nous deux quelque gémellité
Aile et moi n'étant pas couvés en un même œuf
Émettre un tel constat exigeait regard neuf
gémellité fatiguée ...
Là, ça devient duraille :
« Pas des mêmes entrailles ? »
(J'aim' bien, ça fait Messie
Un brin Vierge Marie …
S'cusez la voyouz'rie !)
Continuez sans souci …
Je voudrais qu'on m'explique ,
Sans user de supplique,
Comment un gars, un' fille
Pas de même famille,
Défiant la génétique,
Les diktats scientifiques,
S'aimant, semblent jumeaux,
C'est à manquer de mots !
Sans que ça soit obscène
Voyez les qui s'éprennent
Aile de lui, lui d'elle
En union fusionnelle …
Fauss'ment incestueuse ?
Simplement vertueuse ! …
Tant qu'ils battront ensemble
Leurs cœurs n'iront pas l'amble …
J'exprime à la façon, un tantinet givrée
D'un quasi rimbaldien, d'un navire enivré
Cette interrogation ressassée, lancinante
Née de ma ressemblance avec ma belle amante
Que je n'ose soumettre à quelques sommités
Par crainte de les percevoir désorientées …
Ne me reste-il plus quand leur science est muette
Qu'à m'arrimer aux mots des rêveurs, des poètes ?
Nos pincées d'âme d'Est,
Des poussières d'étoiles,
Qu'on cousit sur des vestes,
Nos parcours nous dévoilent
Traces d'humains qui restent …
Ça fait un brin pédant,
Lors j'affûte les dents
Du stylo, du clavier
Pour que vous perceviez :
Des notes de Chopin,
Pour polacks en la mine,
Me voulant Turlupin
J'en rime la chopine … (1)
Tout ça n'est qu'ironique
Sorte de véronique,
Pour les fronts de taureau, (2)
Sous énième apéro …
N'ayant pas l'esprit large
Ils se pourrait qu'ils chargent
Apprenant de Jeannine
Les « mi- juiv's » origines … (3)
Avant d'aller s'pâmer
D'vant l'foot, à la télé …
Ou hurler en tribunes
Comme loups à la lune … ,
Je vomis à leurs mots
Qualifiant les homos
Comme ceux proférés
Contre les basanés …
Mais est-ce un courant d'air
M'incitant à me taire ?
Jeu de lumière et d'ombre
Évitant que je sombre
En cloaque de haine
Loin de sa rive humaine ?
J'y lis message d'Elle,
Écrit par plume d'aile …
Oublions quelques temps nos « dogmes » réalistes,
Raideurs en découlant, faisons place aux artistes,
Au rêveur philosophe acceptant ses fêlures
La lumière y passant à la fin nous rassure …
Éclairant notre histoire issue d'un fou mélange :
Celui réunissant nos deux moitiés d'orange
Où nos corps, nos esprits, se fondent en échanges…
Il nous faut accepter cette réponse étrange !
De quelle exoplanète est elle à moi venue ?
Un faisceau d'outre ciel me la suggère nue …
Mais sans obscénité, juste un brin d'érotisme
Me déshabillant de l'imbécile machisme …
Lors, traversant l'éther, atteignant notre globe …
Il me fait délaisser l'idée de … garde robe …
Je m'arrêterai là concernant cet impact,
Vouloir en dire plus serait manquer de tact …
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Envoi … d'où ?
Mais la vie sut relier ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire bruit
Et l'amour retrace sur nos pages
Notre trajectoire inouïe …
V'là qu'je fais l'Jacques ! Qu'a dit :
« les enfants qui s'aiment
ne sont là pour personne » … SON SERGE …
Maison de Prévert en Cotentin ...
Allons-y de quelques précisions et explications :
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sacrifions au souverain poncif du polonais bourré ! Mouais, il se raconte, parmi les érudits d'la boutanche … qu'après une victoire où français et polacks furent unis … il y eut une fête arrosée … tous les officiers « tricolores » étaient sous la table, ivres morts … pas les polonais, titubants certes mais non encore affalés … le « petit caporal » « dictateur » aurait engueulé ses troupes en leur déclarant :
« Buvez si vous voulez, mais buvez comme des polonais » ce qui signifiait : tenez le coup ! »
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ah le taureau, symbole de la virilité … de l'éjac … précoce surtout ! Comparé au verrat il est ridicule quant à la durée du coït !
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On voit le ridicule de tous ces machins « enfantés » par les religions et autres régimes politiques « ouverts » … il faudrait trois générations de mères juives pour être classé juif … en triste symétrie trois générations aryennes pour se voir qualifié de bon aryen (j'l'aime bien celle la!) … n'oublions pas la finesse antisémite lors de l'affaire Dreyfus … une des plaisanteries préférées des antidreyfusards étant « Allons il ne peut pas être coupable ! Il est déjà coupé ! » … pour provoquer, je propose de remplacer antisémitisme par judéophobie … une phobie s'avère irraisonnée … l'arachnophobie , l'agoraphobie se soignent parfois … sous réserve de les constater …
Tenez, l'homophobie, relève aussi de la psychiatrie à mon humble ? avis … vouloir soigner par contrainte appuyée les penchants des *préférant leur sexe* rappelle, toutes proportions gardées, les gauchers d'antan auxquels on attachait dans le dos la main « inadéquate » … hé, si on attachait les neurones des atteints de phobies ?! J'écris ceci en mémoire de ma Belle … FEMME, FEMME … mais, surtout … HUMAINE, HUMAINE … acceptant les différences mais celles respectueuses des autres !
Aile ne sera pas surprise de me voir « enfoncer le clou » en rappelant à *certains incertains* que la xénophobie, l'homophobie, entre autres, tombent sous le coup de la loi, s'avérant donc répréhensibles !
En rappelant à d'autres, « tolérant » cela que :
« Le ventre est toujours fécond d'où est sortie la bête immonde » … les fours de certains camps sont encore tièdes …